Après le Président du directoire qui avait fixé ses objectifs lors de la venue de Berlin, parole à l’entraîneur pour notre mise en route en championnat.
« Je ne vis le sport que pour gagner »
Au même titre que Christophe Le Bouille s’y était plié lors du dernier programme, comment, avec du recul, jugeriez-vous votre première année d’entraîneur ?
« Je savais que ça n’allait pas être facile au tout début. Tout était nouveau, les joueurs, le staff, l’organisation… Il fallait apprendre à travailler ensemble, à digérer aussi les matches d’Euroleague qui étaient dans tous les esprits. Pourtant, au moment de la trêve de Noël, et en dépit de tout ce que l’on pouvait dire ou écrire, nous pointions à la seconde place du championnat. A une longueur d’Orléans. Ensuite, il y a eu ce fameux mois délicat, avec le transfert de Brian Chase et l’arrivée de Bobby Dixon. Tout le monde en connaît l’heureux dénouement, ces deux titres glanés sur les trois en jeu. Pour moi, cela ne peut que me combler d’aise. Comme joueur ou maintenant comme entraîneur, je ne vis le sport que pour gagner des compétitions. Là, j’ai plutôt été servi, non ? »