Le MSB se qualifie pour les demi-finales de la Leaders Cup.
Ce n’est rien de dire que la Leaders Cup a démarré sur un rythme peu élevé. Est-ce l’horaire inhabituel (13 heures), toujours est-il que les deux équipes ont fait assaut d’un cruel manque de réussite (37,9% pour le MSB et 30,09% pour la Chorale). Les Roannais, qui avaient poussé les Manceaux à la prolongation dans chacun des deux matchs de championnat, n’ont jamais été en mesure de les inquiéter dans le 1er match de l'histoire de la Leaders Cup. Aussi JD Jackson a-t-il pu économiser ses joueurs dans l’optique d’une possible série de 3 matchs en 3 jours. Ainsi il a fait appel aux 12 joueurs inscrits sur la feuille de match et n’a pas laissé Khalid El-Amin, le Sarthois ayant le plus joué, plus de 23 minutes. Les Tangos auront ainsi pu garder leurs forces pour rencontrer le BCM Gravelines Dunkerque demain à 18 heures en demi-finale. Outre que les deux équipes se rencontreront dans huit jours en championnat, leur duel sera la répétition de celui de l’an dernier au même stade de la compétition. Ce soir-là, le BCM avait vaincu un maladroit MSB 71-56.
Le Film du match :
Les Roannais prenaient un meilleur départ (5-10, 6ème). Pape-Philippe Amagou, auteur de ses 9 points en 1ère mi-temps, se chargeait de porter l’avance choralienne à 6 unités (8-14, 8ème). Un triple de Marko Keselj initiait le 9-0 sarthois en fin de 1er quart-temps (17-14). Les Manceaux avaient pris le dessus sur les Ligériens. Les hommes de JD Jackson, sans s’envoler, maintenaient leurs adversaires à distance (25-18, 19ème) et conservaient 4 longueurs d’avance au repos (27-23). De retour des vestiaires, les Sarthois assénaient un terrible et décisif 20-2 (47-25, 29ème). La messe était dite, Alain Koffi se chargeant de donner 21 points d'avance aux siens en fin de 3ème acte (50-29). Cam Long portait tout de suite l'avantage manceau à 23 unités (52-29, 31ème). Ayant largement ouvert son banc, JD Jackson voyait Soriah Bangura fermer la marque sarthoise (60-39, 39ème) avant que Yohann Sangaré ne réduise quelque peu l’écart final (60-43).
Les Hommes du match :
Les 12 Manceaux inscrits sur la feuille de marque ont tous participé à la rencontre. Parmi les joueurs du Cinq de départ, Pape Sy et Cuthbert Victor n’ont pas joué plus de 21 minutes. Ils ont pourtant eu largement le temps de se signaler en étant les seuls Sarthois à afficher une réussite supérieure à 50,0%. Ainsi Pape Sy réussissait 2 tirs sur 3 et 4 lancers-francs sur 5 finissant avec 8 points auxquels il ajoutait 5 rebonds pour terminer avec une évaluation de 12, soit la meilleure du match, tout comme Alain Koffi. Ce dernier présentait un 4/5 aux tirs et captait 4 rebonds.
Le Chiffre du match :
9. Dans un match où 109 points ont été inscrits par les deux équipes ensemble, il ne faillait pas s’attendre à ce qu’un joueur explose les compteurs. Pire, aucun des acteurs n’a atteint la barre des 10 points. Dans les rangs sarthois, Alain Koffi et Pape Sy ont totalisé 9 points, se partageant en la circonstance le titre honorifique de meilleur marqueur de la partie avec le Roannais Pape-Philippe Amagou.
Ce n’est rien de dire que la Leaders Cup a démarré sur un rythme peu élevé. Est-ce l’horaire inhabituel (13 heures), toujours est-il que les deux équipes ont fait assaut d’un cruel manque de réussite (37,9% pour le MSB et 30,09% pour la Chorale). Les Roannais, qui avaient poussé les Manceaux à la prolongation dans chacun des deux matchs de championnat, n’ont jamais été en mesure de les inquiéter dans le 1er match de l'histoire de la Leaders Cup. Aussi JD Jackson a-t-il pu économiser ses joueurs dans l’optique d’une possible série de 3 matchs en 3 jours. Ainsi il a fait appel aux 12 joueurs inscrits sur la feuille de match et n’a pas laissé Khalid El-Amin, le Sarthois ayant le plus joué, plus de 23 minutes. Les Tangos auront ainsi pu garder leurs forces pour rencontrer le BCM Gravelines Dunkerque demain à 18 heures en demi-finale. Outre que les deux équipes se rencontreront dans huit jours en championnat, leur duel sera la répétition de celui de l’an dernier au même stade de la compétition. Ce soir-là, le BCM avait vaincu un maladroit MSB 71-56.
Le Film du match :
Les Roannais prenaient un meilleur départ (5-10, 6ème). Pape-Philippe Amagou, auteur de ses 9 points en 1ère mi-temps, se chargeait de porter l’avance choralienne à 6 unités (8-14, 8ème). Un triple de Marko Keselj initiait le 9-0 sarthois en fin de 1er quart-temps (17-14). Les Manceaux avaient pris le dessus sur les Ligériens. Les hommes de JD Jackson, sans s’envoler, maintenaient leurs adversaires à distance (25-18, 19ème) et conservaient 4 longueurs d’avance au repos (27-23). De retour des vestiaires, les Sarthois assénaient un terrible et décisif 20-2 (47-25, 29ème). La messe était dite, Alain Koffi se chargeant de donner 21 points d'avance aux siens en fin de 3ème acte (50-29). Cam Long portait tout de suite l'avantage manceau à 23 unités (52-29, 31ème). Ayant largement ouvert son banc, JD Jackson voyait Soriah Bangura fermer la marque sarthoise (60-39, 39ème) avant que Yohann Sangaré ne réduise quelque peu l’écart final (60-43).
Les Hommes du match :
Les 12 Manceaux inscrits sur la feuille de marque ont tous participé à la rencontre. Parmi les joueurs du Cinq de départ, Pape Sy et Cuthbert Victor n’ont pas joué plus de 21 minutes. Ils ont pourtant eu largement le temps de se signaler en étant les seuls Sarthois à afficher une réussite supérieure à 50,0%. Ainsi Pape Sy réussissait 2 tirs sur 3 et 4 lancers-francs sur 5 finissant avec 8 points auxquels il ajoutait 5 rebonds pour terminer avec une évaluation de 12, soit la meilleure du match, tout comme Alain Koffi. Ce dernier présentait un 4/5 aux tirs et captait 4 rebonds.
Le Chiffre du match :
9. Dans un match où 109 points ont été inscrits par les deux équipes ensemble, il ne faillait pas s’attendre à ce qu’un joueur explose les compteurs. Pire, aucun des acteurs n’a atteint la barre des 10 points. Dans les rangs sarthois, Alain Koffi et Pape Sy ont totalisé 9 points, se partageant en la circonstance le titre honorifique de meilleur marqueur de la partie avec le Roannais Pape-Philippe Amagou.