Le premier match des quarts de finale verra le MSB se déplacer à Villeurbanne pour y défier l’ASVEL ce mardi à 20 heures.
Deux semaines après la fin de la saison régulière, l’ASVEL et le MSB vont en découdre au titre des quarts de finale des Playoffs. Pour le club sarthois, il s’agira de la 17ème participation consécutive aux Playoffs alors que l’équipe villeurbannaise sera du Grand Huit de cette année après l’avoir manqué l’an dernier du fait de sa 12ème place. Tout comme Strasbourg et Chalon, l’ASVEL a gagné 18 matchs et en a perdu 12. C’est au point-average particulier que les Rhodaniens se sont retrouvés à la 3ème place qui leur vaut de rencontrer le MSB, 6ème avec 16 victoires et 14 défaites.
La Tendance :
Après avoir longtemps flirté avec le Top 4, les Manceaux sont descendus à la 6ème place (leur plus mauvais classement de la saison) après leur défaite à domicile face à Poitiers (84-92) lors de l’avant-dernière journée. Les joueurs de JD Jackson ont enchaîné avec un revers à Nancy (68-83) ce qui fait qu’ils restent sur 3 défaites d’affilée puisqu’ils avaient commencé la série en étant également sévèrement battus à Orléans (68-83). Au contraire, tous les feux sont au vert pour l’équipe de Pierre Vincent qui vient de vaincre successivement Gravelines (67-65), Paris-Levallois (84-78) puis Chalon (78-75).
Après avoir longtemps flirté avec le Top 4, les Manceaux sont descendus à la 6ème place (leur plus mauvais classement de la saison) après leur défaite à domicile face à Poitiers (84-92) lors de l’avant-dernière journée. Les joueurs de JD Jackson ont enchaîné avec un revers à Nancy (68-83) ce qui fait qu’ils restent sur 3 défaites d’affilée puisqu’ils avaient commencé la série en étant également sévèrement battus à Orléans (68-83). Au contraire, tous les feux sont au vert pour l’équipe de Pierre Vincent qui vient de vaincre successivement Gravelines (67-65), Paris-Levallois (84-78) puis Chalon (78-75).
La Star de l’ASVEL :
Tout a souri à Edwin Jackson cette saison. Il vient de se voir remettre les trophées de MVP Français et de Meilleure Progression de Pro A. Sorti du Centre Fédéral en même temps qu’Antoine Diot, Edwin Jackson (1,90 m, 23 ans) a tardé, comme l’ex-Manceau, à confirmer les espoirs nés de leur prestigieux palmarès en sélections nationales de jeunes. Mais comme son pote, désormais Francilien, Edwin Jackson a enfin éclaté. Et pas qu’un peu. En un peu moins de 30 minutes par match, il a tourné sur l’ensemble des 30 rencontres de la saison régulière à 16,4 points de moyenne avec une coquette adresse de 48,3% aux tirs. Sachant qu’il a pris pratiquement la moitié de ses tirs depuis l’arc des 6,75 m, il y a été particulièrement dangereux puisqu’il a converti 40,4% de ses tentatives à 3 points. Les dirigeants villeurbannais ne peuvent que se réjouir de l’avoir vu prolonger son contrat de 3 ans.
Tout a souri à Edwin Jackson cette saison. Il vient de se voir remettre les trophées de MVP Français et de Meilleure Progression de Pro A. Sorti du Centre Fédéral en même temps qu’Antoine Diot, Edwin Jackson (1,90 m, 23 ans) a tardé, comme l’ex-Manceau, à confirmer les espoirs nés de leur prestigieux palmarès en sélections nationales de jeunes. Mais comme son pote, désormais Francilien, Edwin Jackson a enfin éclaté. Et pas qu’un peu. En un peu moins de 30 minutes par match, il a tourné sur l’ensemble des 30 rencontres de la saison régulière à 16,4 points de moyenne avec une coquette adresse de 48,3% aux tirs. Sachant qu’il a pris pratiquement la moitié de ses tirs depuis l’arc des 6,75 m, il y a été particulièrement dangereux puisqu’il a converti 40,4% de ses tentatives à 3 points. Les dirigeants villeurbannais ne peuvent que se réjouir de l’avoir vu prolonger son contrat de 3 ans.
Le Cinq de l’ASVEL :
Dans une équipe très hiérarchisée, 3 joueurs ont démarré l’intégralité des 30 rencontres de la saison régulière. Il s’agit du meneur Michael Thompson (10,8 points et 2,9 passes), de l’arrière Edwin Jackson (16,4 points, 3,3 rebonds et 2,8 passes) et du pivot Uche Nsonwu-Amadi (11,2 points et 6,2 rebonds). L’ailier fort Amara Sy (11,9 points, 5,1 rebonds et 2,7 passes) était dans le Cinq de départ des 29 matchq auxquels il a pris part. Tim Abromaitis (9,4 points et 4,4 rebonds) et Livio Jean-Charles, Meilleur Jeune 2013 de la LNB (3,4 points et 2,7 rebonds) se partagent l’aile.
Dans une équipe très hiérarchisée, 3 joueurs ont démarré l’intégralité des 30 rencontres de la saison régulière. Il s’agit du meneur Michael Thompson (10,8 points et 2,9 passes), de l’arrière Edwin Jackson (16,4 points, 3,3 rebonds et 2,8 passes) et du pivot Uche Nsonwu-Amadi (11,2 points et 6,2 rebonds). L’ailier fort Amara Sy (11,9 points, 5,1 rebonds et 2,7 passes) était dans le Cinq de départ des 29 matchq auxquels il a pris part. Tim Abromaitis (9,4 points et 4,4 rebonds) et Livio Jean-Charles, Meilleur Jeune 2013 de la LNB (3,4 points et 2,7 rebonds) se partagent l’aile.
Le Coach de l’ASVEL :
Né le 17 avril 1964 à Brioude (Haute-Loire), Pierre Vincent a entraîné l’équipe féminine de Bourges avant de rejoindre l’ASVEL durant l’été 2011. Champion de France à 4 reprises avec les Tangos de Bourges, il a également remporté avec elles 5 Coupes de France et 3 Tournois de la Fédération. Auparavant, il avait mené l’Equipe de France de Tony Parker, Boris Diaw, Ronny Turiaf, Mickaël Piétrus et Yakhouba Diawara au titre de Champions d’Europe Juniors en 2000. Plus récemment, c’est sous ses ordres que l’Equipe de France Féminine de Céline Dumerc et des Braqueuses est devenue championne d’Europe en 2009 avant de remporter la Médaille d’Argent aux Jeux Olympiques de Londres en 2012. Après une première saison de rôdage avec l’ASVEL, Pierre Vincent est en passe de lever toutes les interrogations concernant ses aptitudes à mener une équipe masculine vers les sommets.
Né le 17 avril 1964 à Brioude (Haute-Loire), Pierre Vincent a entraîné l’équipe féminine de Bourges avant de rejoindre l’ASVEL durant l’été 2011. Champion de France à 4 reprises avec les Tangos de Bourges, il a également remporté avec elles 5 Coupes de France et 3 Tournois de la Fédération. Auparavant, il avait mené l’Equipe de France de Tony Parker, Boris Diaw, Ronny Turiaf, Mickaël Piétrus et Yakhouba Diawara au titre de Champions d’Europe Juniors en 2000. Plus récemment, c’est sous ses ordres que l’Equipe de France Féminine de Céline Dumerc et des Braqueuses est devenue championne d’Europe en 2009 avant de remporter la Médaille d’Argent aux Jeux Olympiques de Londres en 2012. Après une première saison de rôdage avec l’ASVEL, Pierre Vincent est en passe de lever toutes les interrogations concernant ses aptitudes à mener une équipe masculine vers les sommets.
Les Arbitres de la rencontre :
Joseph Bissang, David Mortz et Grégory Dubois
Joseph Bissang, David Mortz et Grégory Dubois
64-60 pour le MSB à l’aller
A Antarès, les Manceaux avaient compté 21 points de retard au repos (17-38). Pourtant, alors qu’ils en avaient 23 en début de deuxième mi-temps, ils se lançaient dans une improbable remontée pour inverser la tendance. Ils prenaient d’abord l’avantage grâce à Pape Sy (45-44, 31ème) avant de s’échapper (57-49, 39ème) et de conserver 4 longueurs d’avance au final. Dans le sillage de Khalid El-Amin, 13 points, Cam Long en avait marqué 12, JP Batista 11 et Alain Koffi 10.Pour l’ASVEL, Edwin Jackson et Paccelis Morlende avaient inscrit 12 points chacun alors que Tim Abromaitis en avait ajouté 11.
A Antarès, les Manceaux avaient compté 21 points de retard au repos (17-38). Pourtant, alors qu’ils en avaient 23 en début de deuxième mi-temps, ils se lançaient dans une improbable remontée pour inverser la tendance. Ils prenaient d’abord l’avantage grâce à Pape Sy (45-44, 31ème) avant de s’échapper (57-49, 39ème) et de conserver 4 longueurs d’avance au final. Dans le sillage de Khalid El-Amin, 13 points, Cam Long en avait marqué 12, JP Batista 11 et Alain Koffi 10.Pour l’ASVEL, Edwin Jackson et Paccelis Morlende avaient inscrit 12 points chacun alors que Tim Abromaitis en avait ajouté 11.
88-81 pour l’ASVEL au retour
A l’Astroballe, les Sarthois ont pris 7 longueurs d'avance (16-9, 6ème) avant de céder le commandement aux Villeurbannais. Les Rhodaniens poussaient leur avantage à 10 points en début de 2ème mi-temps (40-50, 23ème) avant de le retrouver en fin de partie (66-76, 37ème). Au final, ils en conservaient 7, s’octroyant au passage le point-average (81-88). Darius Washington s’était pourtant fendu de 29 points, son record de la saison, tandis que Marko Keselj en avait marqué 14, Cam Long 13 et JP Batista 10. Chez les vainqueurs, Edwin Jackson avait montré la voie en totalisant 21 points. Michael Thompson l’avait suivi avec 18 unités de même que Paccelis Morlende 12 et Tim Abromaitis 10.
A l’Astroballe, les Sarthois ont pris 7 longueurs d'avance (16-9, 6ème) avant de céder le commandement aux Villeurbannais. Les Rhodaniens poussaient leur avantage à 10 points en début de 2ème mi-temps (40-50, 23ème) avant de le retrouver en fin de partie (66-76, 37ème). Au final, ils en conservaient 7, s’octroyant au passage le point-average (81-88). Darius Washington s’était pourtant fendu de 29 points, son record de la saison, tandis que Marko Keselj en avait marqué 14, Cam Long 13 et JP Batista 10. Chez les vainqueurs, Edwin Jackson avait montré la voie en totalisant 21 points. Michael Thompson l’avait suivi avec 18 unités de même que Paccelis Morlende 12 et Tim Abromaitis 10.
Le planning des quarts de finale
Lundi 13 mai
20h00 : 1 Gravelines-Dunkerque - 8 Nanterre
20h30 : 2 Strasbourg - 7 Dijon (sur Sport+)
Lundi 13 mai
20h00 : 1 Gravelines-Dunkerque - 8 Nanterre
20h30 : 2 Strasbourg - 7 Dijon (sur Sport+)
Mardi 14 mai
20h00 : 3 Lyon-Villeurbanne - 6 MSB
20h30 : 4 Chalon-sur-Saône - 5 Roanne (sur Sport+)
20h00 : 3 Lyon-Villeurbanne - 6 MSB
20h30 : 4 Chalon-sur-Saône - 5 Roanne (sur Sport+)
Mercredi 15 mai
20h00 : 8 Nanterre - 1 Gravelines-Dunkerque
20h30 : 7 Dijon - 2 Strasbourg (sur Sport+)
20h00 : 8 Nanterre - 1 Gravelines-Dunkerque
20h30 : 7 Dijon - 2 Strasbourg (sur Sport+)
Mercredi 16 mai
20h30 : 6 MSB - 3 Lyon-Villeurbanne
20h30 : 5 Roanne - 4 Chalon-sur-Saône
20h30 : 6 MSB - 3 Lyon-Villeurbanne
20h30 : 5 Roanne - 4 Chalon-sur-Saône
Les 17 et 18 mai auront lieu les belles éventuelles.
17ème participation aux playoffs d’affilée pour le MSB
Depuis 1997, le MSB a toujours figuré dans le tableau des playoffs. Il a connu 7 éliminations au stade des quarts de finale et 6 autres en demi-finales. Par 3 fois, le club manceau a atteint la finale avec le titre à la clé en 2006 (face à Nancy) avant de s’incliner en 2010 contre Cholet puis face à Chalon l’an passé. Il n’y a guère que Pau-Orthez à avoir fait mieux avec 19 participations de suite, et même 20 si on ajoute l’année précédant la création de la LNB, qui ont vu l’Elan Béarnais remporter 8 titres de Champion de France. Si la série est en cours pour le MSB, celle de Pau appartient à l’histoire.
Depuis 1997, le MSB a toujours figuré dans le tableau des playoffs. Il a connu 7 éliminations au stade des quarts de finale et 6 autres en demi-finales. Par 3 fois, le club manceau a atteint la finale avec le titre à la clé en 2006 (face à Nancy) avant de s’incliner en 2010 contre Cholet puis face à Chalon l’an passé. Il n’y a guère que Pau-Orthez à avoir fait mieux avec 19 participations de suite, et même 20 si on ajoute l’année précédant la création de la LNB, qui ont vu l’Elan Béarnais remporter 8 titres de Champion de France. Si la série est en cours pour le MSB, celle de Pau appartient à l’histoire.
Le MSB en playoffs
2012 : Battu en finale par Chalon-sur-Saône 76-95
2011 : Eliminé en quarts de finale par Cholet
2010 : Battu en finale par Cholet 65-81
2009 : Eliminé en demi-finales par Orléans
2008 : Eliminé en demi-finales par Roanne
2007 : Eliminé en quarts de finale par Chalon-sur-Saône
2006 : Champion de France, vainqueur en finale de Nancy 93-88
2005 : Eliminé en quarts de finale par Nancy
2004 : Eliminé en demi-finales par Gravelines-Dunkerque
2003 : Eliminé en demi-finales par Lyon-Villeurbanne
2002 : Eliminé en quarts de finale par Lyon-Villeurbanne, futur champion
2001 : Eliminé en demi-finales par Pau-Orthez, futur champion
2000 : Eliminé en quarts de finale par Limoges, futur champion
1999 : Eliminé en demi-finales par Lyon-Villeurbanne
1998 : Eliminé en quarts de finale par Pau-Orthez, futur champion
1997 : Eliminé en quarts de finale par le PSG Racing, futur champion
2012 : Battu en finale par Chalon-sur-Saône 76-95
2011 : Eliminé en quarts de finale par Cholet
2010 : Battu en finale par Cholet 65-81
2009 : Eliminé en demi-finales par Orléans
2008 : Eliminé en demi-finales par Roanne
2007 : Eliminé en quarts de finale par Chalon-sur-Saône
2006 : Champion de France, vainqueur en finale de Nancy 93-88
2005 : Eliminé en quarts de finale par Nancy
2004 : Eliminé en demi-finales par Gravelines-Dunkerque
2003 : Eliminé en demi-finales par Lyon-Villeurbanne
2002 : Eliminé en quarts de finale par Lyon-Villeurbanne, futur champion
2001 : Eliminé en demi-finales par Pau-Orthez, futur champion
2000 : Eliminé en quarts de finale par Limoges, futur champion
1999 : Eliminé en demi-finales par Lyon-Villeurbanne
1998 : Eliminé en quarts de finale par Pau-Orthez, futur champion
1997 : Eliminé en quarts de finale par le PSG Racing, futur champion
17 titres pour l’ASVEL
Sans discontinuer, l’ASVEL a participé à toutes les éditions du championnat de France Nationale depuis sa création en 1949. Le club du Rhône a régné sur le basket français jusqu’au début des années 80 avec 15 titres en 33 ans (1949, 1950, 1952, 1955, 1956, 1957, 1964, 1966, 1968, 1969, 1971, 1972, 1975, 1977 et 1981). Il lui a fallu attendre une vingtaine d’années pour décrocher le 16ème trophée en 2002. Plus récemment, l’ASVEL de Vincent Collet remportait le 17ème titre en 2009. Dans ses rangs figuraient Amara Sy, Ben Dewar, Antoine Eïto, Eric Campbell et Trumo Bogavac qui en d’autres temps ont porté le maillot Tango du MSB.
Sans discontinuer, l’ASVEL a participé à toutes les éditions du championnat de France Nationale depuis sa création en 1949. Le club du Rhône a régné sur le basket français jusqu’au début des années 80 avec 15 titres en 33 ans (1949, 1950, 1952, 1955, 1956, 1957, 1964, 1966, 1968, 1969, 1971, 1972, 1975, 1977 et 1981). Il lui a fallu attendre une vingtaine d’années pour décrocher le 16ème trophée en 2002. Plus récemment, l’ASVEL de Vincent Collet remportait le 17ème titre en 2009. Dans ses rangs figuraient Amara Sy, Ben Dewar, Antoine Eïto, Eric Campbell et Trumo Bogavac qui en d’autres temps ont porté le maillot Tango du MSB.
23ème participation aux playoffs pour l’ASVEL
La présente saison est la 26ème depuis la création de la LNB en 1987. L’ASVEL n’a manqué les Playoffs qu’à 3 reprises après avoir terminé 11ème en 2004, 9ème en 2010 et 12ème en 2012. Finaliste malheureuse en 1996 (battue par Pau-Orthez), 1997 (PSG Racing), 1999 (Pau-Orthez), 2000 (Limoges), 2001 (Pau-Orthez) et 2003 (Pau-Orthez), la Maison Verte a remporté le titre en 2002 (aux dépens de Pau-Orthez) et 2009 (Orléans).
La présente saison est la 26ème depuis la création de la LNB en 1987. L’ASVEL n’a manqué les Playoffs qu’à 3 reprises après avoir terminé 11ème en 2004, 9ème en 2010 et 12ème en 2012. Finaliste malheureuse en 1996 (battue par Pau-Orthez), 1997 (PSG Racing), 1999 (Pau-Orthez), 2000 (Limoges), 2001 (Pau-Orthez) et 2003 (Pau-Orthez), la Maison Verte a remporté le titre en 2002 (aux dépens de Pau-Orthez) et 2009 (Orléans).
MSB - ASVEL en playoffs
Avant l’affrontement de cette année, les deux clubs se sont retrouvés à 4 reprises en playoffs et à chaque fois les Rhodaniens ont fini la saison régulière devant les Sarthois. L’ASVEL a gagné les 3 premiers duels. En 1999, Villeurbanne avait terminé 2ème et le MSB, 6ème. En demi-finales, le MSB de Keith Jennings et Jason Reese perdait les 2 matchs (70-79 et 63-65). En 2002, les Villeurbannais pointaient en 2ème position et les Manceaux en 7ème. Ceux-ci s’inclinaient en quarts de finale face au futur champion de France (71-81, 73-72 et 81-89) malgré les efforts de Chris King, Neno Asceric, Shawnta Rogers, Sandro Nicevic et JD Jackson. L’année suivante, c’est en demi-finale que l’ASVEL (1ère) éliminait le MSB (3ème) en 3 manches (77--84, 68-67 et 63-80). Le rêve de doublé s’envolait pour Amara Sy, Shawnta Rogers, Sandro Nicevic et JD Jackson qui venaient de remporter la Coupe de France. La 4ème et dernière opposition a connu un sort favorable au MSB. Au printemps 2006, l’ASVEL de Claude Bergeaud devançait tout juste le MSB qui, du fait de sa 5ème place, était obligé d’en passer par le Tour Préliminaire. Après s’être fait peur face à Bourg-en-Bresse, les hommes de Vincent Collet gagnaient les deux matchs des quarts de finale (79-69 et 70-61). Ni Pau-Orthez, ni Nancy n’allaient priver le groupe sarthois du titre.
Avant l’affrontement de cette année, les deux clubs se sont retrouvés à 4 reprises en playoffs et à chaque fois les Rhodaniens ont fini la saison régulière devant les Sarthois. L’ASVEL a gagné les 3 premiers duels. En 1999, Villeurbanne avait terminé 2ème et le MSB, 6ème. En demi-finales, le MSB de Keith Jennings et Jason Reese perdait les 2 matchs (70-79 et 63-65). En 2002, les Villeurbannais pointaient en 2ème position et les Manceaux en 7ème. Ceux-ci s’inclinaient en quarts de finale face au futur champion de France (71-81, 73-72 et 81-89) malgré les efforts de Chris King, Neno Asceric, Shawnta Rogers, Sandro Nicevic et JD Jackson. L’année suivante, c’est en demi-finale que l’ASVEL (1ère) éliminait le MSB (3ème) en 3 manches (77--84, 68-67 et 63-80). Le rêve de doublé s’envolait pour Amara Sy, Shawnta Rogers, Sandro Nicevic et JD Jackson qui venaient de remporter la Coupe de France. La 4ème et dernière opposition a connu un sort favorable au MSB. Au printemps 2006, l’ASVEL de Claude Bergeaud devançait tout juste le MSB qui, du fait de sa 5ème place, était obligé d’en passer par le Tour Préliminaire. Après s’être fait peur face à Bourg-en-Bresse, les hommes de Vincent Collet gagnaient les deux matchs des quarts de finale (79-69 et 70-61). Ni Pau-Orthez, ni Nancy n’allaient priver le groupe sarthois du titre.