Face à Dijon, le MSB s’est imposé petitement (68-65). Diminués, les Manceaux ont réussi à déjouer les plans tactiques de leurs adversaires. Après 5 journées, les Sarthois figurent en haut de tableau de Pro A.
Le plus important était de l'emporter après le faux-pas à Antarès face à Orléans. Le MSB l’a fait. Traditionnellement, les équipes de Jean-Louis Borg, le coach de la JDA, proposent des défenses dont il est difficile de se dépêtrer. A l’image d’un Alex Acker, particulièrement ciblé, les extérieurs n’ont guère eu de tirs faciles sur la zone match-up ce qui explique leur faible pourcentage d’adresse. Pour s’en sortir, il fallait bénéficier de deuxièmes chances et là, le même Alex Acker a été efficace en prenant 5 des 13 rebonds offensifs sarthois. Finalement tout s’est joué dans les derniers instants quand la défense mancelle a forcé Sean Marshall à perdre la balle destinée à David Melody.
Le Tournant du match :
Il restait à peine 2 minutes à jouer. JD Jackson demandait un temps après que Zach Moss ait donné l’avantage à la JDA (61-62). Arrivait alors le Taylor time, traduction mancelle du money time. De sa patte gauche, le meneur manceau, d’un triple, replaçait son équipe devant aussitôt imité par Jérémy Leloup (64-65). Nouveau temps-mort de JD Jackson qui confiait les clés du match à Taylor Rochestie. Numéro 10 provoquait 2 fautes et convertissait les 4 lancers-francs qui s’ensuivaient (68-65). Le dernier tir de David Melody était bien trop désespéré pour priver le MSB de sa 4ème victoire.
L’Homme du match :
Bien que malheureux dans ses tirs (35,3% et 0/5 à 3 points), Cellus Sommerville trouvait le moyen d’inscrire 14 points. Il compensait son manque de réussite par une activité de tous les instants. Attiré par le ballon, il s’appropriait 11 rebonds. Altruiste, il délivrait 3 passes décisives. Agressif défensivement, il volait 3 ballons, et offensivement, il provoquait 5 fautes. Au bout des 39 minutes passées sur le parquet, il terminait avec une évaluation de 16, la meilleure sarthoise, à une unité du Dijonnais Rob Lewin (17).
Le Chiffre du match :
37,7. Les Manceaux ont été fébriles dans leurs tentatives de tirs au point de ne réussir que 23 de leurs 61 tirs (37,7%), en partie en raison de l’hermétique défense de zone instaurée par Jean-Louis Borg. Les Dijonnais étaient plus adroits (45,5%) mais les Sarthois tentaient 6 tirs de plus exploitant au maximum leurs deuxièmes chances nées des 13 rebonds offensifs arrachés dans la peinture bourguignonne. C’est finalement sur la ligne de réparation que les Manceaux faisaient la différence, inscrivant 18 lancers-francs contre 9 à leurs adversaires.
Le Tournant du match :
Il restait à peine 2 minutes à jouer. JD Jackson demandait un temps après que Zach Moss ait donné l’avantage à la JDA (61-62). Arrivait alors le Taylor time, traduction mancelle du money time. De sa patte gauche, le meneur manceau, d’un triple, replaçait son équipe devant aussitôt imité par Jérémy Leloup (64-65). Nouveau temps-mort de JD Jackson qui confiait les clés du match à Taylor Rochestie. Numéro 10 provoquait 2 fautes et convertissait les 4 lancers-francs qui s’ensuivaient (68-65). Le dernier tir de David Melody était bien trop désespéré pour priver le MSB de sa 4ème victoire.
L’Homme du match :
Bien que malheureux dans ses tirs (35,3% et 0/5 à 3 points), Cellus Sommerville trouvait le moyen d’inscrire 14 points. Il compensait son manque de réussite par une activité de tous les instants. Attiré par le ballon, il s’appropriait 11 rebonds. Altruiste, il délivrait 3 passes décisives. Agressif défensivement, il volait 3 ballons, et offensivement, il provoquait 5 fautes. Au bout des 39 minutes passées sur le parquet, il terminait avec une évaluation de 16, la meilleure sarthoise, à une unité du Dijonnais Rob Lewin (17).
Le Chiffre du match :
37,7. Les Manceaux ont été fébriles dans leurs tentatives de tirs au point de ne réussir que 23 de leurs 61 tirs (37,7%), en partie en raison de l’hermétique défense de zone instaurée par Jean-Louis Borg. Les Dijonnais étaient plus adroits (45,5%) mais les Sarthois tentaient 6 tirs de plus exploitant au maximum leurs deuxièmes chances nées des 13 rebonds offensifs arrachés dans la peinture bourguignonne. C’est finalement sur la ligne de réparation que les Manceaux faisaient la différence, inscrivant 18 lancers-francs contre 9 à leurs adversaires.
La vidéo du match :