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Un polar Sarthois

Le 
Son titre : L’ultime balle de match. “Elvin Deaton, basketteur professionnel, récemment recruté par le Sporting-Club, club phare de la Capitale du Maine, est retrouvé mort à son domicile, tué par balle. Le jeune journaliste Marc Morel et l’expérimenté capitaine de gendarmerie Francis Schubert, qui ne se sont jamais rencontrés, enquêtent en parallèle sur les circonstances du décès du joueur américain. La thèse du suicide rapidement écartée, l’affaire soulève de multiples interrogations et ouvre la voie à toutes les hypothèses. Qui avait intérêt à supprimer le sportif connu pour ses frasques, ses incartades ? Affaire de mœurs, histoire d’argent, rivalité sportive exacerbée entre coéquipiers, conflit d’intérêt ? Les pistes potentielles sont multiples… et les non-dits nombreux,” est t-il écrit en teasing. Interview de l’auteur.

Qu’est-ce qui vous a donné l’idée d’écrire un roman policier avec comme trame le basket ?

Il y a quelques années, j’ai lu un polar sur le foot et je me suis dit, « le mec qui a écrit ça, il n’est jamais allé dans le milieu pro du foot. » C’est une idée à creuser, il y a peu de polars dans le milieu du sport, et quand j’aurai un peu de temps, je pourrai en faire un. J’ai assez vite imaginé l’idée d’un joueur qui se ferait assassiner. Après, il a fallu échafauder tout ça, ce qui n’est pas si simple. Il faut avoir l’esprit un peu tordu ! Par définition, tu inventes des trucs que tu n’as jamais rencontré durant ta carrière professionnelle. J’ai fait ça sur les deux ou trois dernières années, et je l’ai fini cet hiver comme j’étais confiné. J’ai remanié mon histoire pour lui donner un peu plus de consistance. Je n’ai aucune prétention littéraire. Si on me dit que c’est de la littérature de gare, ça ne me vexe pas. Il y a quarante ans, quand j’ai commencé, je ne me suis jamais dit que je ferai un bouquin. Je fais ça en toute humilité. Je l’ai fait lire à ce qu’ils appellent des béta lecteurs, des testeurs avec un profil différent, quatre, cinq personnes que je connais, mais qui, à part un qui est journaliste, n’évolue pas dans le milieu. Il y a un musicos, un kiné, qui m’ont dit que ça se lit tranquille.

Visiblement, vous vous êtes servi de votre propre expérience pour le cadre car le club du joueur s’appelle le Sporting, or vous avez été un temps le président du Sporting Club Moderne dont le MSB est l’émanation ?

J’étais président de la structure amateur, et j’avais surtout hérité des dettes ! (rires) Mais j’ai inventé le club, un quartier, ça pourrait être le MSB, mais aussi un autre club pro. C’est quelqu’un qui se fait déssouder. Pourquoi ? Par qui ? Je me suis effectivement servi de mon expérience, mais ce n’est pas moi qui est en scène. Je n’ai pas de message à faire passer, c’est simplement pour passer un bon moment. C’est le plaisir d’écrire, et si les gens sont contents de lire ça, tant mieux.

Est-ce facile de trouver un éditeur pour un roman policier sur le basket ?

J’ai rencontré par hasard cette maison d’édition, Nombre 7, qui est nîmoise, à Lattes où j’habite, il y a deux mois et demis. Ils ont un booking truck et ils se déplacent avec deux ou trois auteurs. Je suis allé les voir. Je leur ai dit que j’avais un manuscrit. J’avais candidaté ailleurs. Certains me demandaient de l’argent, d’autres ne m’ont pas répondu. Je leur ai envoyé et deux semaines après, le directeur m’a appelé en disant qu’il l’avait lu et il m’a demandé ce que je faisais comme métier. Journaliste. Ils m’ont dit ok, on l’édite. C’est une petite maison, ça a matché humainement. Ils assurent la correction, la mise en page, le boulot auprès des libraires, les plates formes numériques, chez eux, ils suggèrent des choses. Ils ne peuvent pas tout faire au niveau de la promo, ils font un tout petit service de presse.

L’ultime balle de match est disponible chez l’éditeur et sur toutes les plateformes de vente (Amazon, Fnac, Decitre, Cultura). Il est également disponible en format e-book. Ou encore chez votre libraire habituel qui vous le commandera.

 

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